* toi, nuit du 27 28 mars 2008
Août 2008
Il y a des soirs où j'ai peur de dormir.
Je me détache doucement de nos nuits et je prends l'habitude de sa peau absente. Je vis sans, je dors sans, je nuist sans. Mon corps n'est pas indemne, mes yeux encore moins. Mais les pensées je les évite. Je me réveille parfois en ayant rêvé d'un autre et avec l'envie de Clément souvent. Je me souviens de certains coins du jour, et je me lève brutalement. Pour arrêter de penser.
Je retrouve l'envie d'un corps serré au mien en me réveillant. Je retrouve cette envie de me sentir transpercer par un sentiment d'apaisement.
En attendant. C'est comme si j'avais des instruments au bord des doigts, à ma juste portée, et que je ne savais pas les manier. L'été me pèse. Mes paupières me font mal. L'été aussi.
Commentaires :
Re:
Je crois de toute façon qu'il n'y plus grnd chose à dire. j'ai fait le tour de la question, cent fois, et cent fois je répète.
Qutant à l'été, il y a des définitions comme ça qui nous échappent.
ecilora