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Ton coeur, ton odeur, le goût de tes baisers
Je crois que ça ne va pas. Il y a un an, j'écoutais Dans la Merco en boucle, et Jan me manquait déjà beaucoup trop pour que ce soit vrai. Aujourd'hui, quatorze février deux mille douze, Biolay est toujours là. Je passe son grain de beauté, en boucle aussi bien sûr. En entendant Gyl résonner dans chacun des cils d'ange, des nez droits, des matières grises et des culs quand t'as bu. Ce soir, je réalise comme je deviens victime dans le triangle de Karpman. Et je ne voulais pas. J'avais déjà bien assez d'être la sauveuse au cœur blanc. Tu sais ce qui me plaît le plus Gyl en nous deux ? C'est la pureté qui émane de nos après-midi prolongées, ensemble. Je voudrais tant en revivre. Je subis le-manque-de-toi-te-voir-trop-peu-des-mots-que-je-ne-reçois-pas-tes-décisions. Tu me manques. Tu t'en fous pas mal. C'est faux. Si tu me voyais là, tu aurais peur et tu t'en voudrais encore plus de ce que tu m'imposes. Mais je suis tombée amoureuse, et maintenant, je n'envisage plus rien sans me référer à toi. Pas même l'achat d'un ordinateur portable.
Je suis mal barrée, tu vois bien. A moins que. Non rien, je suis mal barrée. Et même si j'essayais vraiment, si je ne faisais pas que semblant avec les autres garçons, ça ne marcherait pas. Il s'agit d'accord. Majeur.
Tu m'arraches.
Je suis mal barrée, tu vois bien. A moins que. Non rien, je suis mal barrée. Et même si j'essayais vraiment, si je ne faisais pas que semblant avec les autres garçons, ça ne marcherait pas. Il s'agit d'accord. Majeur.
Tu m'arraches.
J'aime quand tu me touches
et ton regard en biais
et ton cul quand t'as bu
et ton grain de beauté
et ton regard en biais
et ton cul quand t'as bu
et ton grain de beauté
Ecrit par lilou, le Mercredi 15 Février 2012, 00:50 dans la rubrique Au jour le jour.
