Tu ne peux pas savoir à quel point. Ce soir encore je pense à toi. Je ne voudrais pas que le souvenir de tes bras devienne douloureux.
Je te le dis, en tout état de cause, je ne sais pas si je vais pouvoir.
Te laisser filer à tes possibles décisions de ne plus répondre. Pour l'instant sans doute. Je ne sais rien, tu ne dis rien.
Et tu te souviens de nos nuits sans sommeil. A parler encore, et ne faire qu'un. Et de tes matins réveil, il ne fallait pas te parler. Ni te faire chaque fois l’amour. Parfois, je partais en cours, tu m’attendais dans les draps. En rentrant, je me déshabillais, prenais une douche. Et venais recoller ma peau contre la tienne.
Ma main dans tes cheveux bouclés, mon. Jan.
Et j'aimais que tu me trouves adorable quand je te préparais un grand verre de lait sans que tu l'aies demandé.