Les yeux rivés dans les embruns
Dimanche 20 novembre 11
Bien. Voilà, je retombe dedans. Dans le panneau je veux dire. Il ne s'agissait pas de ça au départ, n'est-ce pas? Juste de quelques Ricard après une soirée avec les autres de la télé. Il aurait juste fallu qu'on s'abstienne, peut-être? Que chacun rentre chez soi, au revoir et merci pour cette soirée qui se termine à 21h30. Mais non, il a fallu qu'on s'invente une vie "parallèle" - c'est comme ça qu'il définit notre histoire, une histoire autonome - dès le premier soir, qu'on rentre ensemble.Tu m'avais embrassé. Et je ne me rappelle plus vraiment ce qu'il s'est passé dans mon lit. Juste, dans le bar, tu m'avais appris pour ta copine, sa copine.
Julien me disait l'autre jour que j'étais restée la même durant toutes ces années : honnête, et il disait aussi que je m'ambiançais pour un rien.Parfois, je crois que c'était avant. Et toujours sur ce même blog. Je n'arrive plus à écrire.
Mercredi 23 novembre 11
J'ai pris une autre douche lundi soir, mis du rouge à lèvres rouges vif, les enlevé aussitôt - on ne sait jamais. L'ai remplacé par un gloss rose et brillant. J'ai enfilé des collants rouges. Une jupette noire. Et je l'ai rejoins. Gyl et ses amis. Deux des meilleurs. Une semaine plus tôt, il me ramenait des galettes de Saint-Malo. Signes d'officialisation, ou pas ?
Ce soir, Gyl, tu es en face d'elle, tu l'as certainement pris dans tes bras au début. Et tu es en colère. Après elle, son égoïsme. Je flippe.
Il me faudrait un peu plus d'insolence et de liberté que je n'ai déjà. Quoique, la liberté, je la bouffe tous les jours. Et l'assise nécessaire à cette insolence, à cette liberté, je sens bien que tu pourrais me la donner. Oui, voilà pourquoi je flippe. Peut-être que je tombe, que je tombe tu connais la suite.
Bien. Voilà, je retombe dedans. Dans le panneau je veux dire. Il ne s'agissait pas de ça au départ, n'est-ce pas? Juste de quelques Ricard après une soirée avec les autres de la télé. Il aurait juste fallu qu'on s'abstienne, peut-être? Que chacun rentre chez soi, au revoir et merci pour cette soirée qui se termine à 21h30. Mais non, il a fallu qu'on s'invente une vie "parallèle" - c'est comme ça qu'il définit notre histoire, une histoire autonome - dès le premier soir, qu'on rentre ensemble.Tu m'avais embrassé. Et je ne me rappelle plus vraiment ce qu'il s'est passé dans mon lit. Juste, dans le bar, tu m'avais appris pour ta copine, sa copine.
Julien me disait l'autre jour que j'étais restée la même durant toutes ces années : honnête, et il disait aussi que je m'ambiançais pour un rien.
Mercredi 23 novembre 11
J'ai pris une autre douche lundi soir, mis du rouge à lèvres rouges vif, les enlevé aussitôt - on ne sait jamais. L'ai remplacé par un gloss rose et brillant. J'ai enfilé des collants rouges. Une jupette noire. Et je l'ai rejoins. Gyl et ses amis. Deux des meilleurs. Une semaine plus tôt, il me ramenait des galettes de Saint-Malo. Signes d'officialisation, ou pas ?
Ce soir, Gyl, tu es en face d'elle, tu l'as certainement pris dans tes bras au début. Et tu es en colère. Après elle, son égoïsme. Je flippe.
Il me faudrait un peu plus d'insolence et de liberté que je n'ai déjà. Quoique, la liberté, je la bouffe tous les jours. Et l'assise nécessaire à cette insolence, à cette liberté, je sens bien que tu pourrais me la donner. Oui, voilà pourquoi je flippe. Peut-être que je tombe, que je tombe tu connais la suite.
Ecrit par lilou, le Jeudi 24 Novembre 2011, 01:05 dans la rubrique Au jour le jour.
Commentaires :
Re:
Oh, tu commences à me connaître. Des histoires à raconter....compliquées aussi.
Et une très bonne nouvelle. :)
J'espère qu'on en saura plus ici bientôt!
Et une très bonne nouvelle. :)
J'espère qu'on en saura plus ici bientôt!
Re: Un passage
Oh, je ne rate pas un article, mais je commente plus rarement. Plutôt que de toujours avec quelque chose qui ne veut rien dire à dire, je préfère distiller des mots bien placés.
MangakaDine