J'ai envie d'une cigarette. Une seule. J’ai envie de
m'envoyer en fumée, en l'air de ses fumées noires qui bouffent petit à petit -
ou peut-être plus vite qu'on ne le pense d'ailleurs. Je retrouve ce vide laissé
là à gauche dans la poitrine et l'estomac serré. Je me sens seule. On se sent
seul, tous. On boit des verres dans un bar de Châtelet et on se raconte
nos amères solitudes. Jo. regarde par terre, elle lui manque sûrement. C'est
toujours écœurant de voir des gens qui s'aiment devoir se séparer. Ju. garde
cette confiance déstabilisante sur le corps, mais dans ces yeux la douleur se
voit. Et les autres aussi. Nos amitiés ne comblent pas, elles ne suffisent
plus. On trinque en se sentant seul. On devrait se dire qu'on a à peine 20 ans
et qu'on ne devrait pas souffrir pour ou à cause de quelqu'un. On sait
qu'on devrait se le dire. Mais on est con, jeune et con.
Son silence m'obsède encore, encore plus, son absence m'obnubile et sa voix me
bouffe de l'intérieur. Je me suis endormie hier, le corps étriqué, en gémissant
dans les draps. Et je me suis réveillée ce matin en pensant au temps dans ses
paumes. En pensant qu'il n'existait pas de mec voué à exorciser l'amour qui coule dans les veines. Comme
le diable. Ils prennent tous les deux au corps. Je me suis dit que j'étais
foutue. Parce que je ne l'ai pas le mode d'emploi pour oublier. Je ne devrais
pas, je sais. On sait beaucoup de choses quand on a à peine 20 ans.
Commentaires :
Re:
Ça fait deux jours maintenant, que je suis absente du temps qui m'entoure. Je le constatais à l'instant, à la terrasse d'un café, avec des copains de Fac, je regardais au loin à l'horizon. En réalité mon regard était vide et j'étais à peine dans la conversation. Hier soir, la même chose. Alors pour compatir on m'a tendu des cigarettes. La boule a ventre qui subsiste m'empêche d'aller mieux et de penser à autre chose. C'est physique aussi.
Justement, on a la mémoire sélective. Et la sélection se fait dans ce qui est le plus important dans nos vies au moment même où l'on sélectionne sans doute. Tu sais lui ne m'as pas fait de mal, c'est son absence qui me fait du mal. Je m'en veux tellement de n'avoir pas su retenir un garçon aussi brillant. Si tu savais. C'est le pire, il n'a rien fait de mal. Il ne m'a rien fait de mal. On est pas dans les films oui. Je vais au cinéma d'ailleurs ;)
C'est toujours un plaisir de recevoir des commentaires de toi, vraiment. Merci beaucoup. D'être là.
PS: personne ne se mouillera ici pour te donner un mode d'emploi qui, je crois, n'existe même pas en effet.
Re:
Depuis deux jours tu es absente du temps qui t'entoure mais est ce que tu sais comment faire pour aller mieux ? moi, mon problème c'est celui là, c'est que je ne sais pas comment aller mieux, et ça c'est vraiment dur. Si seulement j'avais la solution..
Penser à autre chose? moi aussi j'ai du mal, c'est dingue.
Je ne sais pas ce qu'il a pu se passer pour que ca s'arrête entre vous, surtout s'il ne t'as pas fait de mal, dans ce cas là pourquoi ne réessaie tu pas avec lui ? peut etre ça serait ça qui te ferait aller mieux ? mais peut etre que je dis ça, mais que tu vas me repondre que vous deux, c'est plus possible. Si c'est le cas, je suis désolée pour toi..
Re:
On me dit que pour aller mieux il faut oublier. Oui mais je n'ai pas envie de [l'] oublier. D'autant plus que je ne sais pas m'y prendre.
C'est dingue comme tu dis, et ça bouffe une énergie énorme. Je ne sais pas non plus comment faire, je suis paumée. Complètement. Alors j'attends.
Je ne sais pas non plus ce qui a pu se passer dans sa tête pour que sa décision d 'arrêter soit aussi impulsive. C'est très dure de se retrouver face à quelqu'un qu'on aime vraiment, sans comprendre pourquoi on a plus le droit à tout ça. Bien sûr retourner avec lui serait ce qui pourrait m'ariver de mieux en ce moment. Sauf qu'il ne serait pas d'accord. Réessayer oui, mais je ne sais pas draguée moi lol )
Re:
Re:
Je suis tellement d'accord, on est idéaliste. Mais nos idéaux se cassent la gueule tous les jours j'ai l'impression. T'es mal tombée, pour le coup je crois aux anges.
Il n'était pas question de fidélité tu sais. Mais je comprends ton propos. Je comprends; je le sais. Mais je crois que l'apprentissage, de la vie, à 20 ans, il se fait aussi en perdant son temps à ce genre de choses. Il faut y passer pour vieillir, même si on sait qu'on a tord.
Ton humanité me touche. Me bouscule. Mais sans doute en ai-je besoin.
Une dernière chose, tu dis "autorise toi la liberté". Tu as l'impression que je ne le fais pas?,
C'est le mal du moment, j'ai l'impression. Comme une épidémie qui touche de plus en plus de monde. Moi y compris, depuis une quinzaine de jours. Alors ces mots, tes mots, je ne les comprends que trop. Ce manque, ce vide que rien ne semble vouloir combler. Ca me saoûle, au quotidien. Je passe mes journées à faire des choses qui devraient me faire penser à autre chose, sans pour autant que ça marche. Ca me fait mal, là, au fond de moi, à chaque battement de mon coeur, parce que, me dire que "ces" bons moments sont révolus... je ne peux pas. Je ne sais même pas si je veux oublier. De toute façon, je doute qu'on puisse le faire vraiment. Il n'y a aucune méthode miracle...
Le sommeil revient petit à petit, même si les nuits sont mauvaises et le réveil des plus déprimants. "On ne devrait pas souffrir pour ou à cause de quelqu'un", tu as raison... et pourtant...
Pfff, j'suis dégoûté, tiens...
Re:
Un mal qui nous pourrit la vie de toute évidence. Comment on s'en sort dis moi? Rencontre d'autre gens c'est ça non qu'on te dit aussi? "Je passe mes journées à faire des choses qui devraient me faire penser à autre chose, sans pour autant que ça marche" alors ça, c'est tellement vrai. C'est tellement ça.
Chaque battement de coeur à penser à lui est en effet un supplice. Je ne pensais pa que j'écrirais ça un jour. S'en est presque niais. Ils osnt révolus certes, mais je en peux pas m'empêcher de penser qu'il peut y en avoir d'autres. Qu'il doit y en avoir d'autres. Comment allons-nous faire sinon? Oublier moi personnellement, je ne veux pas. Ca sonne tellement improbable. on vit avec, on survit au monde qui nous entoure.
Depuis fin mai je dors à moitié, et tout ça me fatigue si tu savais. Mais tu sais n'est-ce pas?
Re:
Oui, on me dit de rencontrer d'autres personnes, bien sûr. C'est sûrement une bonne idée, je ne veux pas contester, mais voilà, c'est pas évident. Dans un contexte pareil, je suis plus du genre à m'isoler, à ruminer le problème pendant de longues heures dans mon coin, et quand enfin quelqu'un arrive à me motiver pour bouger et voir du monde, je me sens vide, j'ai la tête ailleurs, je ne pense qu'à elle. Tisser des liens sociaux -quels qu'ils soient- avec de nouvelles personnes, oui, il me semble que c'est essentiel, mais il faut avant tout avoir pris le temps de se reconstruire.
J'ai beau me dire que rien ni personne ne la remplacera, je sais que je me mens à moi-même. Parce que c'est plus fort que moi, je me relève toujours de ces histoires douloureuses. A force de les accumuler (c'est un grand mot, on dirait qu'il y en a eu des centaines), j'en viens souvent à me demander si je ne les attire pas, ces histoires impossibles, ces histoires à problèmes, ces p***** d'histoires qui font mal.
Tu sais, on n'oublie jamais ce genre de choses. On apprend à vivre avec, même si c'est dur, que ça fatigue et que ça prend du temps. J'essaie de nouveau de m'en persuader, chaque jour qui passe. Le sommeil perturbé, oui je sais ce que c'est. Je dormais peu avant, en espérant un jour vivre quelque chose avec elle, et maintenant, je dors peu parce qu'elle me manque, et que je ne m'imagine pas vivre sans elle...
(Bon j'arrête là, je me trouve trop bavard)
Re:
Dans un coin de nos mémoires oui, inoubliables. mais aussi dans un coin du coprs : cette impression d'être arrachée à ton propre corps, à te voir te déchirer en lambeaux, non?
C'est sûrement une bonne idée comme tu dis de rencontrer des gens mais je ne crois pas que ce soit ce qu'on veuille réellement. Runminer, se rendre seul, c'est exactement ça. Et même avec d'autres, on y est pas, on regarde au loin en pensant que tout ça est terminé, et qu'il/elle n'est plus là. C'est juste invivable au fond du ventre. Se sentir vide et se reconstruire dans le vide. Aujourd'hui ça me apraît impossible tu sais. Et pourtant, il paraït que...
Toi tu attires ces histoires à problèmes, moi ce sont les histoires compliquées. C'est juste qu'avec lui tout était paradoxalement tellement appaisant. Rien de compliqué ou d'impossible au fond.
On apprend à "vivre"? A vivre ou à vivre sans cette personne qui, putain, nous rendait tellement heureux...
Merci d'être là, de ces mots Mickaël. Merci de les comprendre et de partager la tienne d'histoire.
Re:
A peine vingt ans. Je n'y crois sans doute pas non plus. Mais j'entends que le temps est un placebo. Comme il disait avec le temps va tout s'en va. C'est bien de le savoir mais sans doute qu'il faudrait y croire pour que ça marche. Il faudrait. 'ça n'aurait aucun d'intérêt, d'y croire ' . Alors je en sais plus. Je suis un peu paumée dans ces histoires de temps réparateur, de temps qui passe trop vite, et de vie qu'on mène à demi-mot à cause des maux.
Merci de t'être arrêter là ent out cas.
Mais c'est sans compter sur une phrase toute bête, qui paye pas de mine mais qui pourtant est vraie. On ne loupe pas la bonne personne, justement parce que c'est la bonne personne. Alors remettez un peu à leur place toutes les histoires qui vous font souffrir. Ca s'est arrêté ? Et bien tanpis, ce n'était pas lui/elle. Cette histoire de "l'un part, l'autre reste" existe depuis qu'un con a inventé l'amour. Arrêtons de souffrir pour des choses si banales.
Le mode d'emploi ? La volonté. La volonté de s'ouvrir. De se laisser retomber amoureux. La volonté de laisser son esprit vagabonder.
Le confort d'une liaison passée, c'est beau. Mais la douceur d'une idylle naissante, c'est fantastique.
Re:
Je t'avoue qu'à la première lecture, ton commentaire m'a énervé. Vraiment. Je n'écris pas ce genre de choses pour avoir un max de commentaires parce que je sais que beaucoup peuvent se reconnaître dedans, je n'écris pas ça parce que je n'ai rien d'autres à écrire, ça non, je nécris pas ça non plus pour qu'on me pleigne ou qu'on pleure avec moi. Je n'écris pas ça pour qu'on me brusque parce que tout ça, tout ce que tu dis je le sais déjà. Je le sais mais je n'agis pas en conséquence. C'est ainsi. Je ne cherche pas à tout prix à le retenir, c'est pas mon genre de me donner en spectacle (enfin dans cette situation là en tout cas). J'ai attendu, j'ai serré les dents et vu le temps passé, trois mois, sans sa voix sans rien de lui. Il fallait voir, même si je n'avais pas oublier, il fallait voir si le temps avait changé quelque chose. Et tu vois je ne cherche pas du tout à me rattacher à lui, à nous, à nos mois passés à chanter les Beatles dans Paris et à jouer au jeu du dico. Parce que quand j'ai entendu sa voix, quand je l'ai revu mardi, j'ai eu un mal de chien. Et ça fatigue si tu savais - tu sais sûrement. Et ce mal je ne le contrôle pas et pour rien au monde je voudrais le sentir encore en moi.
Ces histoires de bonnes personnes, de moitié etc. Et si cette semaine je m'étais rendue compte qu'il incarnait tout ces Hugues, Antoine, Pablo et compagnie. Un peu d'eux. En fait non, c'est juste complètement lui. C'est juste fascinant, il l'est. Cette bonne personne, du moins dans ma vie actuelle. Une histoire qui se termine est une chose banale c'est vrai. Et pourtant quand on est amoureux on a toujours/souvent l'impression que notre histoire était inédite et c'est ça qui la rend originale et douloureuse une fois terminée.
La volonté je ne l'ai pas, je te l'accorde. Pour la simple et bonne raison que c'est à lui que je veux m'ouvrir. Pas à d'autres. On tombe rarement sur quelqu'un de bien de nos jours. Je suis tombée dessus et je me suis même cassée la gueule. L'idylle naissante est fantastique je suis d'accord. En attendant il faut être prêt à ça. Je suis un peu longue à la détente, certes. Mon texte n'est pas beau, il n'est pas bien écrit. Il était juste nécessaire, pour moi.
Et pour être franche, j'attends peut-être un peu le 13 et la rentrée dans cette nouvelle Fac fachiste pour voir. Pour rencontrer de nouvelles personnes. Même si je n'y crois pas beaucoup.
Re:
Ensuite... il est la bonne personne... Est-il là? La bonne personne n'a pas juste des qualités, elle ne représente pas juste un idéal que l'on souhaiterait avoir. Elle l'est évidemment mais ce serait la limiter à très peu de choses au final, et à des choses bien trop éphémères.
Non la bonne personne est composée de détails, dont le plus est que le lien existe toujours. Un lien réciproque. Je ne dis pas que l'on ne peut pas se séparer pour mieux se retrouver (même si je n'y crois que très peu), c'est simplement que si le lien se casse, c'est que la personne ne te suivra pas par la suite. Que ce n'est LE mec.
De plus, tu dis que c'est la bonne personne du moment... oui, peut-être. Ce qui signifie que bientôt, dans un autre moment, une autre bonne personne apparaitra, non?
Une histoire pour deux amoureux est unique, oui. Mais l'amour rend aveugle. Ce ne sont que deux personnes qui se plaisent beaucoup et qui passent un temps ensemble. Oui, c'est magique, et ce n'est pas un romantique à 2 balles comme moi qui dira le contraire. Mais tu plairas si tu y mets du tiens à un autre garçon, un autre garçon, si tu y mets du tiens, te plaira, et cela sera reparti.
Que tu vives encore dans cette histoire est normal. Triste et déchirant mais normal, pas grave. Il faut juste éviter de s'enfermer dedans. Rester ouvert, tout en pensant à un autre. Et en ce moment, je sais de quoi je parle.
En tout cas, si je t'ai énervé, je m'en excuse. En ce moment, tous mes mots sont mal reçus. Il semblerait que j'ai bien fait d'arrêter d'écrire.
Re:
Flatteur, non, oui peut-être je ne sais pas. Ca n'est pas tant flatteur que des personnes se retrouvent dans tes mots. Ca peut-être surprenant, mais flatteur... C'est ça : "Alors remettez un peu à leur place toutes les histoires qui vous font souffrir." Je trouvais ça un peu brusque. Si dans la vie, ceux qui ont commenté ou moi, on essaie d'oublier, et que parfois on y repense, je crois que c'est tout a fait légitime de venir l'exprimer ici (enfin pas sur mon blog). Sinon où? Maintenant je t'accorde qu'on a tous l'air bien accroché et complètement paumé...
Il n'est pas là comme je le voudrais. Il est là, debout sur mes paupières. Et c'est déjà beaucoup. Je suis d'accord, on ne limite pas la bonne personne à notre idéal. Et tu sais le pire, c'est qu'il ne représentait quasiment aucun de mes idéaux. Il n'était pas ce mec blond aux yeux bleux mystérieux intelligent et blablabla non. Plutôt ce mec qui m'étonne chaque jour, qui a des défauts bien sûr, c'est évident, mais face à tout ce qu'il m'apport(ait) c'est incomparable. Tu vois cette impression d'avancer grâce aux yeux d'un autre, se sentir plus intelligent, il me portait vers le haut. Et je ne l'imaginais pas au début. Quand je l'avais vu dans cette salle de concert avec son blouson en cuir.
Peut-être qu'une autre personne apparaitra, je n'en sais rien et d'autant plus que je ne crois pas au destin. Mais j'y crois peu. Juste que chaque jour qui se passe loin l'un de l'autre ce sont des jours où l'on se loupe. J'en suis convaincue.
L'amour n'est pas juste 'deux personnes qui se plaisent beaucoup et qui passent un temps ensemble' . Ne me dis pas ça à moi, déjà que ce mot d'amour est tout neuf dans mes horizons d'attente. Si j'y mets du mien, mais tu sais je suis fatiguée, fatiguée et triste en plus. Ca m'empêche d'avancer et de panser les plaies. C'est lâche, c'est un manque de volonté totale et peut-être même que c'est facile de rester bloquée sur une histoire terminée, mais la difficulté est déjà trop imposante pour moi. A cet instant. 'Rester ouvert, tout en pensant à un autre.' Oui mais à qui, attends je fais mon choix... au hasard...
J'ai mal perçu le message de toute évidence. Je suis sans doute un peu trop à fleur de peau en ce moment. Je sais que le jour où je lirai ton commentaire précédent sans me sentir bousculée, brusquée, ou offencée même, j'aurais tout gagné. Je me doute que c'est à ça qu'il faut que j'arrive. Mais arrête deux secondes! Si tu as arrêté d'écrire c'est parce que ça ne te semblait plus évident pour toi, mais par pitié, n'arrête pas pour les autres!
vig
Un texte qui exprime tellement ce que je ressens en ce moment... la solitude. La pire des choses, selon moi. J'ai horreur de ça et pourtant je m'y enfonce en ce moment...
Même quand tu es avec tes ami(e)s, tu ressens ce sentiment, ce qui m'étonne, même si je sais qu'on peut le ressentir en étant entouré, moi quand je suis entourée de gens que j'aime (ou même pas à vrai dire), tout d'un coup ça va mieux. *complètement psychologique* mais ça me fait du bien et des fois j'arrive à ne plus penser, des fois seulement.
J'ai connu ces soirs à me coucher en pensant à lui, et le matin à me lever en pensant encore à lui, ça m'arrive de temps en temps encore (malheureusement), ma mèmoire ne veut pas oublier, alors que je croyais qu'on avait une mémoire sélective? pourquoi on oubli pas ce/ceux qui nous fait./font du mal ? j'aimerais claquer des doigts pour pouvoir tout oublier et recommencer à zéro, en étant juste bien. Mais bon on est pas dans les films donc c'est beaucoup plus dur, tellement plus dur..
C'est toujours un plaisir de te lire. =)