Le sourire qui me lâche. Le ventre qui se gonfle à cause de cette foutue boule. Les yeux qui stressent. Qui se demandent pourquoi et quand. Je retrouve cet état. Depuis lui. Quelque part ça fait du bien dans les poumons. Parce que je m'attache à nouveau. Et d'un autre côté, j'me dis que je m'embarque encore dans un gouffre un peu trop haut, je vais m'essouffler avant d'y arriver.

Il y a sa réponse qui n'arrive jamais. La peur de ne plus le voir, de ne plus recevoir un simple message de lui. Ca tiraille le ventre. Et ça fait mal. L'angoisse de ne plus jouer au même diapason. Et moi, je continue à penser fort à son corps fin et musclé, à ses yeux qui me retiennent quand je ne devrais pas. A ces riens, à cette recontre en-dessous des spots de couleurs, à ce visage que j'ai retrouvé paradoxalement, par un hasard qui a bien fait les choses.

Pas réponses, pas de signes. Juste de quoi m'angoisser.Et de me dire qu'il compte de plus en plus (et qu'il ne faudrait peut-être pas).