.jpg)
Arrêter les minutes supplémentaires
Il y a des choses que je ne comprends pas. Il y a l'incompréhension que j'ai face à tant d'évidences de ma part et tant de protection de la tienne. Tu me repousses, les seules petites fois où je te demande, tu me repousses. Tandis que moi, je continue à te pleurer le soir. Mais pas que, il m'arrive la semaine, en allant à la Danse de pleurer dans le métro en écoutant To*t do*cem*nt. J'appréhende le passage devant ta fenêtre Gyl, mon coup d'oeil jeté en l'air.
C'est vrai que ma vie ressemble à un roman en ce moment. Toi qui te barres, moi qui te lis partout où je peux - comme si je passais Cannes à tes côtés - et la femme avec qui tu as passé tant d'années qui sera devant moi bientôt. Je ne fais pas sans toi.
Je me demande à quel point ça t'arrange de ne pas savoir. Si, à ce point, tu évites de me retrouver. Si, même un café, te fais peur au point de ne pas tenter. Je me demande parfois qui de nous trois devrait trembler le plus.
C'est vrai que ma vie ressemble à un roman en ce moment. Toi qui te barres, moi qui te lis partout où je peux - comme si je passais Cannes à tes côtés - et la femme avec qui tu as passé tant d'années qui sera devant moi bientôt. Je ne fais pas sans toi.
Je me demande à quel point ça t'arrange de ne pas savoir. Si, à ce point, tu évites de me retrouver. Si, même un café, te fais peur au point de ne pas tenter. Je me demande parfois qui de nous trois devrait trembler le plus.
Ecrit par lilou, le Mardi 29 Mai 2012, 01:10 dans la rubrique Au jour le jour.
