Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

Je t'envoie mes jours perdus, pendus

J'essaie d'apprendre à vivre sans toi, mais force est de reconnaître que ce n'est pas évident. J'essaie de me dire que si ce n'est pas toi, ce sera un autre, ce n'est pas un drame mais je n'y crois pas une seule seconde. Je n'arrive pas encore à renoncer à toi, et puis à nous aussi. Tu penses que je t'idéalise, moi je suis sûre d'avoir vu clair dans ce que tu es depuis le départ. Tes défauts, tes angoisses, ce qui te retient, ta colère.
J'ai mal au ventre ou j'ai mal à la tête, mais le fait est que je me réveille forcément en pensant à toi.
J'appréhende de plus en plus ce voyage. J'essaie de me raccrocher à ce qu'on peut y voir, à ce qu'on peut visiter ou manger, à ce qu'on peut faire la fête, danser et s'habiller en short rouge, mais j'appréhende de plus en plus mon M.
J'ai de plus en plus peur pour moi. Je me fais mille scénarios pour savoir comment tu serreras mon petit cœur entre tes mains en me voyant avancer vers toi. Sois-là, je te demande juste d'être là ; histoire de le réceptionner : dans l'avion déjà, il aura vécu des hauteurs et des descentes, et les ascenseurs émotionnels seront bien présents au cours de ces 10 jours. Tu vois, je ne me voile pas complètement la face mon A. Je te voudrais auprès de moi, parfois c'est comme viscéral. D'ailleurs, c'est pour cette raison que je n'arrive pas à tracer un trait. Déjà. C'est une chose terrible qui se passe en moi. De l'autre côté de l'écran aussi.
Depuis août, tu es mon ami et mon amant, mon amoureux et je voudrais que tu le sois encore. Je n'arrive pas à te lâcher. Voilà le fond de ma pensée, je ne devrais pas la dire, la taire pour ne pas causer trop de dégâts. Mais en réalité, même si tu m'as dit des choses dures et violentes, même si par tous les moyens tu essaies de me faire comprendre, je n'arrive pas à envisager n'être plus qu'un blond souvenir. J'entends ce que tu dis, même si je n'arrive pas à l'envisager si vite, si facilement. Parce qu'avec mon petit cœur, tu pourrais jouer à tous les jeux que je serais chaque fois dans ton équipe.
Je pense à tes 30 ans, à tes 30 prochaines années (et plus encore) que je voudrais que tu passes auprès de moi. Je suis fatiguée, épuisée de ces dernières semaines, mais je voudrais passer mes années prochaines avec toi M., aujourd'hui, deux-avril-deux-mille-treize, je voudrais être auprès de toi, blottie contre ton torse bleuté.

Ecrit par lilou, le Mardi 2 Avril 2013, 18:38 dans la rubrique Au jour le jour.

Commentaires :

eveildessens
eveildessens
03-04-13 à 09:32

mélancolie


Je ne vous sens pas très "heureuse" dans ce texte, vous semblez ne pas être confiante dans "cette relation amoureuse", un peu comme une oscillation entre coeur et raison...