Suite logique
Mardi 6 mars.
Je ne veux pas qu'elle revienne, Gyl. Et si elle revient comme elle en a envie, je ne veux pas que tu y retournes toi. A ton amitié fraternelle qui n'a rien à voir avec l'amour. Et si nous deux ce n'est pas (encore) de l'amour, c'est une rencontre de désir, de sincérité et d'envie de ne faire plus qu'avancer. Je voudrais marcher avec toi, tout près de tes hanches. Comme la nuit dernière.
Et la nuit d'avant aussi. Je te répète que tu es beau. Tu ne me crois pas beaucoup. J'aime te caresser la peau, le dos, tes fesses quand tu me fais l'amour. Même les choses les plus simples sont incroyables la nuit, avec toi. Quand tu me caressais dans le cou, et partout ailleurs, hier soir, je t'ai dit que tu aurais dû être peintre. Tu fais attention au moindre détail. Ou sculpteur. Et dès que tu es trop loin de moi la nuit, au réveil, je te tire contre ma peau, et là, je voudrais que le réveil ne sonne pas déjà.
Je ne veux pas qu'elle revienne, Gyl. Et si elle revient comme elle en a envie, je ne veux pas que tu y retournes toi. A ton amitié fraternelle qui n'a rien à voir avec l'amour. Et si nous deux ce n'est pas (encore) de l'amour, c'est une rencontre de désir, de sincérité et d'envie de ne faire plus qu'avancer. Je voudrais marcher avec toi, tout près de tes hanches. Comme la nuit dernière.
***
Mercredi 7 mars.Et la nuit d'avant aussi. Je te répète que tu es beau. Tu ne me crois pas beaucoup. J'aime te caresser la peau, le dos, tes fesses quand tu me fais l'amour. Même les choses les plus simples sont incroyables la nuit, avec toi. Quand tu me caressais dans le cou, et partout ailleurs, hier soir, je t'ai dit que tu aurais dû être peintre. Tu fais attention au moindre détail. Ou sculpteur. Et dès que tu es trop loin de moi la nuit, au réveil, je te tire contre ma peau, et là, je voudrais que le réveil ne sonne pas déjà.
Ecrit par lilou, le Mercredi 7 Mars 2012, 21:21 dans la rubrique Au jour le jour.