(Quelle) Jolie douleur
Dimanche 31 juillet 11
Juillet se termine, sans toi, sans nous. Sans nos peaux. Je répète et me répète, je sais bien. Je pourrais écrire sur tout un tas de choses, des centaines d'autres mots. Mais l'été vient de s'écouler de moitié. Août sera encore plus studieux que juillet, et déjà, je pense à septembre et tous les mois qui vont suivre. Sans toi. Je reviendrai à toi, pas vrai? Tu retournes déjà dans mes rêves, alors j'imagine parfois qu'il suffirait de t'écrire longtemps. Et ça marcherait.
Lundi 1er août 11
C'est sûr, j'ai un problème avec le bonheur. Et un autre avec mes angoisses. Je répète des choses seize fois d'affilé pour trouver l'équilibre. Pour que tout soit bien terminé. Je pense à toi, et en même temps j'essaie de me concentrer sur toutes les lignes à rendre au 1er septembre. Je pense à toi et à mon avenir aussi. Ca ne me laisse pas beaucoup de temps pour imaginer un bel été. De toute façon, il y a encore les étiquettes sur la petite robe blanche en solde. Je l'aurais mise volontiers avec des bottes version santiag. Oui mais l'été est triste cette année, il fait la moue tu vois bien. L'été est un imposteur et c'est parce que tu n'es pas là pour me parler de ta journée le soir. Jamais aucun ne te ressemblera. Aujourd'hui encore, mon corps te réclame lorsqu'il pourrait être avec un autre. C'est ironique la vie tu vois bien, avec toi, je me retenais du mieux que je pouvais pour ne pas entendre les appels des autres. Même si tu étais bien là et que ça me suffisait mille fois. Aujourd'hui, je n'entends plus que ton absence. Et frôle tes silences à longueur de journée. Et la nuit, j'aimerais rêver à savoir te faire revenir. Amoi nous.
Juillet se termine, sans toi, sans nous. Sans nos peaux. Je répète et me répète, je sais bien. Je pourrais écrire sur tout un tas de choses, des centaines d'autres mots. Mais l'été vient de s'écouler de moitié. Août sera encore plus studieux que juillet, et déjà, je pense à septembre et tous les mois qui vont suivre. Sans toi. Je reviendrai à toi, pas vrai? Tu retournes déjà dans mes rêves, alors j'imagine parfois qu'il suffirait de t'écrire longtemps. Et ça marcherait.
Lundi 1er août 11
C'est sûr, j'ai un problème avec le bonheur. Et un autre avec mes angoisses. Je répète des choses seize fois d'affilé pour trouver l'équilibre. Pour que tout soit bien terminé. Je pense à toi, et en même temps j'essaie de me concentrer sur toutes les lignes à rendre au 1er septembre. Je pense à toi et à mon avenir aussi. Ca ne me laisse pas beaucoup de temps pour imaginer un bel été. De toute façon, il y a encore les étiquettes sur la petite robe blanche en solde. Je l'aurais mise volontiers avec des bottes version santiag. Oui mais l'été est triste cette année, il fait la moue tu vois bien. L'été est un imposteur et c'est parce que tu n'es pas là pour me parler de ta journée le soir. Jamais aucun ne te ressemblera. Aujourd'hui encore, mon corps te réclame lorsqu'il pourrait être avec un autre. C'est ironique la vie tu vois bien, avec toi, je me retenais du mieux que je pouvais pour ne pas entendre les appels des autres. Même si tu étais bien là et que ça me suffisait mille fois. Aujourd'hui, je n'entends plus que ton absence. Et frôle tes silences à longueur de journée. Et la nuit, j'aimerais rêver à savoir te faire revenir. A
Ecrit par lilou, le Lundi 1 Août 2011, 02:23 dans la rubrique Au jour le jour.