Une caresse d'hiver, là sur ta peau solaire. Et deux trois coups de vent sur le passé présent.
Tu me manques. Tous les jours tu me manques. Je ne tiens plus, si tu voyais ça Jan. Les échecs s’enchaînent. Je les bombarde de remords, de regrets, de gémissements. Tu vois, si t’étais là, ça ne changerait certainement pas grand chose à la situation. Il n’empêche. Que je me sentirais sûrement mieux. Moins seule, dans tes bras. Toute à l’heure, ou c’était peut-être hier, j’essayais d’imaginer comment tu m’avais fait l’amour.
Ecrit par lilou, le Vendredi 17 Juin 2011, 23:58 dans la rubrique Quand il fait nuit.
Commentaires :
Re: En un sens c'est amusant comme...
Il faut savoir une chose je crois. On lit parfois, et on ne commente pas forcément. Ensuite, je pense qu'il ne faille pas écrire dans le but d'avoir des "lecteurs", du moins des "commentateurs" mais le faire d'abord pour soi. Sinon, on s'impose trop de choses dans l'écriture. Enfin je crois.
Je ne savais pas ça pour mes mots, je ne sais pas si c'est positif ce que tu en dis. En tous les cas, ça "vibrant à la limite du visible et vrombissants de vie.", ça me touche.
Pour le reste, rougis oui!!!
Je ne savais pas ça pour mes mots, je ne sais pas si c'est positif ce que tu en dis. En tous les cas, ça "vibrant à la limite du visible et vrombissants de vie.", ça me touche.
Pour le reste, rougis oui!!!
Celsius42
En un sens c'est amusant comme...
J'en rougirais presque d'essayer d'imaginer comment tu essayais d'imaginer comment il t'avait fait l'amour.