Tandem
Tant de temps. Tant de respirations. Tant de souffles coupés par les semaines qui passent. Tant de choses, tant. De changements. Et au fond. Rien ne change vraiment. On évolue, mais on ne change pas - je crois.
Tant de visibilité, tant de noirceur au bord des paupières - à l'inverse. Tant d'Hugues, tant de Clément aussi. Tant de personne dans la nuit, la solitude, les draps trop propres et le vide. Tant de bêtises à cause de l'alcool. Une ou deux fois trop de Stan. Tant de jeux, tant de baisers pas volés, oubliés, inexistants ; qui n'existent plus. Il faut. Tant de pleurs qui restent là, bien coincés dans le corps. Tant de petites scènes. Tant de soleils qui disparaissent le jour d’après. Tant d’examens qui arrivent. Tant de dossiers à remplir et se vendre, s’adapter toujours. Tant d’égoïsme, tant d’intolérance qui prend le dessus. Le corps qui change tant. Tant de chevilles bancales, qui font mal. Juste deux en fait. Tant d’Australie que je rêve. Tant de jours qu’il reste avant qu’Alizée ne parte pour de bon. Tant de faire semblant. Tant de ne plus y arriver et être crue.
Tant d'envie d'écrire, tout. Tout. Mais tant de temps invisibles.
Tant de visibilité, tant de noirceur au bord des paupières - à l'inverse. Tant d'Hugues, tant de Clément aussi. Tant de personne dans la nuit, la solitude, les draps trop propres et le vide. Tant de bêtises à cause de l'alcool. Une ou deux fois trop de Stan. Tant de jeux, tant de baisers pas volés, oubliés, inexistants ; qui n'existent plus. Il faut. Tant de pleurs qui restent là, bien coincés dans le corps. Tant de petites scènes. Tant de soleils qui disparaissent le jour d’après. Tant d’examens qui arrivent. Tant de dossiers à remplir et se vendre, s’adapter toujours. Tant d’égoïsme, tant d’intolérance qui prend le dessus. Le corps qui change tant. Tant de chevilles bancales, qui font mal. Juste deux en fait. Tant d’Australie que je rêve. Tant de jours qu’il reste avant qu’Alizée ne parte pour de bon. Tant de faire semblant. Tant de ne plus y arriver et être crue.
Tant d'envie d'écrire, tout. Tout. Mais tant de temps invisibles.
Ecrit par lilou, le Mardi 19 Mai 2009, 14:31 dans la rubrique Au jour le jour.
Commentaires :
Re:
Je me dis que normalement, d'ici deux semaines, je derais en avoir fini avec les commentaires de textes. Pour de bon. Je croise les doigts.
Le commentaire de Coralie me fait sourire.
Bon courage pour tes examens. Ça ira, je suis sure que cela ira.
Bon courage pour tes examens. Ça ira, je suis sure que cela ira.
Re:
J'aimerais tellement en être aussi sûre que toi.
Mais si tu savais toutes les raisons qui font que ça pourrait vraiment ne pas aller... Elles sont temporellement incontrôlables.
...
Mais si tu savais toutes les raisons qui font que ça pourrait vraiment ne pas aller... Elles sont temporellement incontrôlables.
...
ecilora
Ce n'est pas recherché mais c'est pas de ma faute! C'est celle de mes parents! :p
Que d'anaphores en ce texte dis donc. Et je note aussi le jeu sur l'homonymie. (je ne vais pas te faire un commentaire de texte, nooooooooon)
Arrêt sur images et accumulations. Ouais, ça pourrait aller mieux. J'ai l'impression d'être hors-sujet. tant pis. je valide quand même.
BzOo dOo