Tout se confond. Tout se confond et se fond dans ma tête. Il y a écrit 'Accepté' au bout de mon nom.
Ce matin, j'étais assise à la terrasse d'un café à Bastille. Jo. me disait qu'il ne trahirait pas notre Fac s'il était à ma place. Il préférerait continuer de passer pour un glandeur pacifiste comme en ce moment. Les autres ne supportent pas parce que nos programmes ne sont pas vieux-jeu, parce que nous avons des cours qui nous plaisent, actuels.
Alors voilà. Il y a tous ces choix qui se bousculent et qui n'aboutissent à aucune décision concrète. Il y a le choix d'être doublement une glandeuse pacifiste ou, l'être, mais devenir également une fille qui sortirait de ***. On m'a dit qu'il fallait goûter le camp ennemi parfois. On me l'a dit oui. On est septembre et je n'ai jamais été autant paumée.
Et puis il y a ces deux garçons. Intelligents, intéressants, pas mal. La soeur de l'un qui a joué avec Klapisch. Le quatrième étage de la résidence découvert. Et pourtant, dans les draps, je cesse de me retourner en pensant que tout est encore trop là.
Commentaires :
Re:
Oui, on le retrouve. Sûrement.
C'est décidé, j'ai décidé. J'ai écouté, entendu, peser ce pour ce foutu contre. Et tout est devenu comme une évidence. L'évidence que ce sera encore plus dure que ce que je ne pensais. Mais au fond, j'aurais très certainement regretté si.